J'ai récemment eu l'occasion d'interviewer Erika Goreski, une survivante d'un AVC qui, avec Paul Nash, également survivant, a cofondé la communauté BrainStorm sur Instagram et Facebook. Leur mission est de sensibiliser le public au fait que les AVC ne font pas de discrimination, d'aider les autres à se rétablir et de nous rappeler à tous l'importance de prendre soin de notre santé.

En juin dernier, pendant le mois de sensibilisation aux AVC, BIOS Medical a publié un post Instagram sur les symptômes FAST de l'AVC (Face drooping, Arm weakness, Speech difficulty, Time to call 911). Erika a répondu en soulignant que tous les AVC ne suivent pas ce schéma et que le discours sur les AVC semble encore dépassé et largement axé sur les personnes âgées. Son commentaire nous a frappés ; il nous a rappelé que les symptômes d'un AVC ne sont pas toujours aussi simples qu'une liste de contrôle.

Nous l'avons contactée pour lui demander si elle accepterait de participer à un reportage sur les survivants d'un AVC, et au cours de notre conversation, nous avons découvert le travail incroyable qu'elle et Paul accomplissaient avec BrainStorm. Cela a donné lieu à une discussion plus approfondie et à notre interview.

Depuis le lancement de BrainStorm, plus de 1 200 personnes ont rejoint la conversation !

Lisez "Une lettre à la communauté BrainStorm" ici.

L'histoire derrière BrainStorm

Interrogée sur l'idée derrière cette page, Erika a déclaré :

« Mon ami Paul et moi collaborons sur notre page. Son histoire est également incroyable. J'avais un mode de vie qui aurait dû me protéger contre les AVC, tandis qu'il menait une vie sédentaire, luttait contre une addiction alimentaire et savait qu'il était une bombe à retardement. Mais les AVC ne font pas de discrimination, et nos modes de vie contrastés nous ont tout de même conduits à une expérience qui nous unit. Nous pensons que cela offre une perspective vraiment intéressante. »

Ensemble, Erika et Paul ont lancé BrainStorm, un espace destiné à créer des liens entre les personnes, à mettre en avant les témoignages de survivants et à sensibiliser le public au fait que tout le monde peut être victime d'un AVC.

« Des discussions sincères pour les jeunes survivants d'un AVC. Des témoignages bruts. Des vérités difficiles. Un rétablissement honnête. »

Un espace pour créer des liens

Sur leurs pages de réseaux sociaux, Erika et Paul publient du contenu qui s'adresse directement aux jeunes et aux survivants d'un AVC qui sont effrayés, incertains ou qui ont du mal à naviguer dans la vie après un AVC. Leur objectif est de s'assurer qu'aucun survivant ne se sente seul.

Il ne s'agit pas seulement de sensibilisation, mais aussi de créer des liens et des relations. En partageant leurs parcours très différents, Erika et Paul montrent que le rétablissement après un AVC n'est pas le même pour tout le monde, mais que les émotions, les défis et les victoires peuvent être compris universellement.

Des outils qui peuvent faire la différence

Au cours de notre conversation, Erika a réfléchi à la façon dont son AVC a changé sa perception de sa santé :

« Avant mon AVC, je ne possédais pas de tensiomètre. Honnêtement, je ne pensais pas en avoir besoin. Avec le recul, j'aurais aimé être plus proactive. Maintenant, je vérifie régulièrement ma tension artérielle, ce qui me procure une grande tranquillité d'esprit. »

Son expérience montre à quel point des outils de santé simples peuvent rassurer les survivants et leur permettre de rester autonomes :

Tensiomètres : l'hypertension artérielle est l'un des principaux facteurs de risque d'AVC. La surveillance à domicile peut aider à détecter rapidement les changements silencieux. (Cœur + AVC, 2025)

Oxymètres de pouls : la surveillance du taux d'oxygène et de la fréquence cardiaque peut rassurer les survivants entre deux visites chez le médecin.

Aides à la mobilité et produits de sécurité pour le bain : Erika a souligné l'importance de la sécurité au quotidien :

« Lorsque vous êtes en convalescence, même les petites choses, comme entrer et sortir de la douche en toute sécurité, font une grande différence. Disposer des bons outils d'aide vous aide à vous sentir à nouveau vous-même. »

Aller de l'avant ensemble

Pour Erika, partager son histoire est une question de connexion et d'impact :

« Si le fait de partager nos histoires aide ne serait-ce qu'une seule personne à reconnaître les signes, à vérifier sa tension artérielle ou à se sentir moins isolée pendant son rétablissement, alors cela en vaut la peine. »

Chez BIOS Medical, nous partageons l'engagement d'Erika et Paul en faveur de la sensibilisation et de la prévention. En combinant la défense des intérêts de la communauté et des outils de santé accessibles, nous pouvons tous jouer un rôle dans le soutien aux survivants et aider davantage de personnes à prendre leur santé en main.

Suivez le parcours d'Erika et Paul sur Instagram, Facebook et TikTok à l'adresse @Brainstormchanges et rejoignez leur communauté grandissante de survivants, de défenseurs et de sympathisants.

Restez à l'écoute sur la chaîne YouTube BrainStorm, où ils partageront bientôt d'autres vidéos et anecdotes... À venir très bientôt !